EXPRESSION DÉMOCRATIQUE
Pour Luchon, avec Éric Azémar
Conformément aux principes de neutralité et d’équité imposés par la législation électorale en période de pré-campagne, et par souci d’assurer une parfaite égalité de traitement entre les acteurs politiques, la Majorité Municipale a décidé de ne pas faire usage de son droit d’expression dans cette rubrique.
L’équipe municipale continue d’exercer pleinement ses fonctions pour la gestion des affaires courantes de la commune.
Rassemblé-e-s pour Luchon
Près de deux mois après le rejet, le 18 août, de la proposition de budget présentée suite à la saisine de la Chambre Régionale des Comptes par M. Le Préfet, où en sommes-nous ? Rappelons que la CRC avait retoqué l’ensemble des budgets votés en avril ce qui a contraint le maire à présenter une nouvelle proposition. Suite au rejet de celle-ci, le budget a retourné pour avis à la CRC. Le 29 septembre, cette dernière a rendu son avis et, constatant l’absence de vote favorable, elle demande à M. le Préfet de régler le budget 2025. C’est donc ce dernier et non la mairie qui sera en charge de son exécution, ce qui vu le contexte, est plutôt une nouvelle rassurante pour les Luchonnais. Elle rappelle également l’obligation qu’à la mairie de présenter cet avis en Conseil Municipal mais, à l’instant où nous écrivons, aucun conseil n’est encore programmé. Les sujets ne manquent pourtant pas, on aurait pu y parler, par exemple, des conséquences de la remise des délégations par les adjoints…
Michèle Cau Louis Ferre
Catherine Peyge
Fin de règne
Obstiné dans son projet de contrat défavorable à Luchon, majoritairement rejeté, M. Azémar a compromis la relance du casino. A force d’établir des budgets insincères, celui de 2025 vient d’être rejeté. A peine 2 ans après sa « dissolution » autoritaire de 2023 du Conseil municipal, le maire est à nouveau en froid avec une partie de ses colistiers. Il tarde à réunir le Conseil. Les réunions publiques ont disparu depuis plus d’1 an. La crise démocratique locale s’ajoute à la crise nationale.
Plutôt que de faire campagne, le maire ferait mieux de gérer la ville !
Comme le vantait la programmation d’été, Luchon est mise à l’heure du 2nd Empire. Nous préférerions celle du 21ème siècle !
Gérard Subercazes
Article non communiqué.
